Abaji – Gibran

Abaji (né en 1958), chanteur, auteur, compositeur et musicien multi-instrumentiste libanais.
Abaji passe son enfance et son adolescence dans la capitale du Liban et y découvre la musique, notamment la guitare folk, à 11 ans. Il vit également la musique grecque lors des fêtes de famille et la musique orientale dans la rue. Il est inspiré par Cat Stevens, Bob Dylan, Fairuz et Ravi Shankar.

Il considère Jimmy Page comme le parfait guitariste car il expérimente entre la guitare électrique et l’acoustique. Abaji est fasciné par sa façon de jouer en percussions sur les cordes de sa guitare acoustique et par sa production de sons aériens sur l’électrique. L’expérimentation et la découverte l’attirent…

Celui qu’on surnomme le « troubadour des bédouins » débute sur scène et fait les premières parties d’artistes reconnus comme Geoffrey Oryema, John Mc Laughlin, Suzanne Vega…
Abaji est un collectionneur d’instruments du monde entier. Il en possède plus de 300. Il les collecte au cours de ses voyages et ses concerts : aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, au Pakistan, en Inde, au Liban, au Maroc, au Costa Rica, en Océanie, en Amérique Centrale, dans différents pays d’Afrique et d’Europe… Ce poly-instrumentiste adore improviser, expérimenter.

Il apprend un nouvel instrument tous les 4 à 5 mois (saz, zarb, flûtes, saxophone en bambou, doudouk…). Passionné par la lutherie et fan d’instruments anciens qu’il ressuscite, comme une guitare-harpe à double manche du XIXème siècle ou son saxophone en bambou Sud-américain, il joue également du sitar, de la guitare à 6 et 12 cordes et de l’harmonica. Il est également l’inventeur d’une guitare-sitar à 5 cordes qu’il joue avec un archet.

Abaji chante en cinq langues : français, arabe, turc, grec et arménien.
Le musicien enregistre ses albums, se produit sur scène mais compose également des musiques pour l’image et des spectacles vivants. Sa discographie dans ce secteur compte 37 albums. Ses thèmes de créations sont aussi variés que l’Inde, l’exil, le Moyen-Orient et des musiques d’investigation…

« Gibran » : « Si le Liban n’était pas ma patrie, j’aurais choisi le Liban pour patrie ». (hommage au poète Kahlil Gibran)

Enfant, Khalil Gibran (1883-1931), un des écrivains libanais les plus célèbres, était déjà fasciné par les vents et les tempêtes du désert car il y ressentait les forces motrices de la terre. Le fondateur de la plus célèbre école symboliste de la littérature arabe moderne s’exprime dans ses poèmes contre le cléricalisme, la société bourgeoise et la civilisation et exalte un panthéisme mystique.

Abaji déclare : « Mon cheminement en tant que musicien libanais est fortement influencé par l’œuvre de Gibran, la voix de Nusrat Fateh Ali Khan et la sensibilité des musiciens du Sahara, des algériens et des maliens qui ont transformé mon exil français en oasis ».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abaji

Titre extrait du long-box 2 CD « DESERT BLUES 2 – Rêves d’oasis CD 1 » (Network Medien 2002)

Help to Lebanon … or the art of pretending

I am shocked by the visits of the international community to Lebanon, which under the guise of so-called diplomatic negotiations, between threats of sanctions and tears for the dying population, are not concretely effective or benevolent.

Moreover, this interference in the country’s politics and the lack of international coordination to provide direct aid to the most essential sectors of Lebanese life (agriculture, banking, health) are the best proofs.

The Lebanese want this blackmail to end, it is no longer time to negotiate, because it is now a critical emergency.

Finally, I invite to think about designing an empowering process for food production, as well as alternative transport systems. All this requires investments which can be ensured by international aid through specific programs.

Let me remind you that Lebanon has taken in thousands of refugees, displaced by conflicts generated by foreign countries.
Now is the time to bring justice to this country and its people, who had always shown solidarity.

To let die a cross-cultured country like Lebanon without doing anything is a criminal act.

Political and ideological divisions have no place here.

Then will you really help Lebanon ….or will you just pretend to do it?

© Audrey Jacob – Freelance consultant for Lebanon and Autonomous Basque Country

La Banque du Liban est-elle sous le coup d’une vaste attaque informationnelle ? Portail de l’Intelligence Économique

The Owl Criminology

Une importante part des déclarations, au Liban ou dans le monde, en faveur de la réforme profonde du système libanais, semble témoigner d’agendas politiques bien plus flous. L’affaire Riad Salamé, gouverneur de la Banque du Liban (BdL) en est l’épiphénomène le plus visible.

https://portail-ie.fr/analysis/2824/la-banque-du-liban-est-elle-sous-le-coup-dune-vaste-attaque-informationnelle

Sans surprise, l’offensive judiciaire qui avait débuté en mars 2021 s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui. Une fois de plus la simultanéité des actions plaide pour une attaque coordonnée dont l’effet final recherché semble être plus communicationnel et politique que judiciaire. En outre la nature des nouveaux entrants dans l’offensive fait émerger de forts soupçons quant à l’implication très importante, voire centrale, des réseaux de l’Open Society.

https://portail-ie.fr/analysis/2948/la-banque-du-liban-est-elle-sous-le-coup-dune-vaste-attaque-informationnelle-2eme-partie-lattaque-de-lopen-society

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La porpora, Rosso di Tiro o Viola Imperiale

La porpora di Tiro veniva estratta da un mollusco, il mùrice, ed era il colorante più pregiato dell’antichità.
Per ottenere qualche grammo di tintura occorrevano anche 10.000 mùrici che, dopo essere stati pescati venivano immersi in grandi vasche, poi venivano infrante le conchiglie che racchiudevano il mollusco e iniziava il processo di macerazione.
Ottenuto il pigmento il colore veniva diluito con acqua di mare per ottenere l’intensità desiderata che variava dal rosso cupo al violetto, e si immergevano i tessuti in cui si impregnava il colore in modo indelebile.
Le tintorie erano sempre collocate lontano dai centri abitati perché l’odore prodotto dalla macerazione di migliaia di molluschi era decisamente sgradevole.

https://www.vitantica.net/2017/10/09/la-porpora/

LA PORPORA FENICIA, UNA TINTURA PIÙ PREZIOSA DELL’ORO

https://www.viaggicultura.it/2020/09/03/la-porpora-fenicia-una-tintura-pi%C3%B9-preziosa-dell-oro/

“IL LIBANO – TERRA DEI FENICI… LA PORPORA “di MARIA PACE

https://storiaefantasydotcom1.wordpress.com/2016/01/25/i-fenici-il-popolo-della-porpora-di-maria-pace/