My nation (homeland) knows me and I know my nation
It is rich with me and I am rich with my nation
It planted me in its soil/land
And I planted it in the whole world
I know the house and I know the neighborhood and the doors
And I’ve come back searching for my past
I recall where I carved my name, on the window sill
If only I could separate the depression of absence
Without you, is a depressing absence
Open up for me, my nation
My sadness is deep, keeps people at a distance
A structured morality
And leave behind the (karam is like a piece of land kind of like a garden or field where you plant things, baydar is an area where you grind wheat and manajel are the hook-like metal that they used in the old days where they would chop the wheat)
And steal the love of those who love me and leave
But now it is time, the ship has arrived and the letters came
Fondé en Octobre 2009 à Beyrouth, le mouvement Critical Mass Beyrouth célèbre le dernier samedi de chaque mois à 13 heures une balade mensuelle à vélo pour valoriser ce mode de transport durable et faire valoir les droits des cyclistes (rendez-vous donné à la Place des Martyrs).
D’autres événements gratuits sont organisés, sans date fixe et de manière participative.
En France, la Vélorution est l’équivalent du terme masse critique (traduction littérale), mouvement dont l’un des buts est de promouvoir l’utilisation des moyens de transports personnels non polluants (bicyclette, patin à roulettes, planche à roulettes) qui dénonce en même temps la société de l’automobile et qui peut également désigner une association ou une manifestation de cyclistes.
Certains collectifs et associations appelés vélorution ont créé des ateliers vélo participatifs et solidaires. En récupérant des vélos inutilisés et en mettant des outils à disposition, ils permettent aux cyclistes d’apprendre à entretenir et réparer leurs bicyclettes.
(source : wikipédia)
A Bayonne, au Pays Basque, ces actions sont organisées par l’atelier vélo participatif Txirrind’Ola
Le terme zajal est employé, dans les pays du Proche-Orient en général, pour désigner les poésies non classiques, ou les poésies populaires en langues dialectales.
Au Liban, le mot zajalest utilisé pour désigner la poésie populaire traditionnelle qui est souvent chantée.
Ce zajal est « inséparable du folklore libanais dont il est l’expression la plus représentative ».
L’origine du zajal reste ambigüe.
C’est une poésie populaire qui est essentiellement impersonnelle; en l’absence de documents écrits, il est impossible d’en dire les origines, d’en connaître les auteurs véritables.
Au début, vers le Xe-XIe siècle en Andalousie le zajal résulta de la division de la langue arabe en langue classique et langue dialectale; par la suite il s’est répandu dans tous les pays arabes.
Le zajal « andalou »
Le Zajal andalou est souvent défini comme une espèce de poème ou plutôt de chanson populaire, dont l’invention est majoritairement attribuée à Abou-Bakr ibn-Qozman (Abou-Bakr Mohammad ibn-‘Isa ibn-‘abdelmalek- az-Zihrî), de Cordoue, qui mourut en 555. Le zajal est en langue vulgaire, sans désinences grammaticales. Sa versification est fondée non pas sur l’accent rythmique, mais sur le nombre de syllabes, et l’on emploie différents mètres.
Le zajal « libanais »
Les Libanais ont pratiqué le zajal très tôt. Il était connu sous le nom de al-qawl et de al-mu’anna .
Il servait à enregistrer les événements politiques de la montagne, à pleurer un ami, à attaquer un ennemi. « Il était alors utilisé pour décrier éloquemment les responsables et leur lancer des flèches acérées ». Il évolua vers la fin du XVIIIe siècle jusqu’à traiter des soucis de la vie quotidienne.
Nous trouvons ainsi dans un manuscrit décrit par ‘Isa Iskandar al-Ma’lufles incidents survenus au Shuf (région du Mont-Liban) en 1790, réunis par un certain Abi Ibrahim Darwish Mir’i de Qalamûn.
Mais le premier poème libanais de ce genre fut probablement écrit par un certain Slayman Ashlûh (du Liban nord), à l’occasion de la chute des Croisées dans la ville de Tripoli.
C’était en Mai 1289. Dans un vers du poème, l’auteur annonce son nom et celui de son village, il dit: Qayelha shâ’er Ashlûh masknu mashhûr baynel-wara ismu Slaymên.
Au XVe siècle, un autre poète de zajal, le patriarche Gibrâyel connu par Ibn al-Qilâ’i (mimrê). Nous trouvons une de ses poésies dans un livre de Boutros Gemayel.
Le zajal libanais et le chant syro-maronite.
Un certain nombre de chercheurs et d’auteurs, surtout libanais, considèrent la poésie populaire traditionnelle comme un art indépendant de la poésie classique et y voient l’influence de poésies non arabes, telles que les poésies syriaque, persane, ou autres.
Dans le cas de la poésie populaire traditionnelle libanaise, l’influence de la poésie syriaque est bien claire.
Au niveau du rythme, tout d’abord la poésie syriaque ainsi que la poésie libanaise sont toutes deux syllabiques, leurs mètres sont basés sur le nombre de syllabes et non pas sur le nombre d’accents toniques (longue et brève).
Ensuite, pour ce qui est de la langue, le dialecte libanais est fort influencé par la langue syriaque.
La corrélation étroite du zajal avec les chants liturgiques syriaques est soulignée par plusieurs chercheurs et poètes libanais: « … le zajal était d’abord syriaque, ensuite arabe ».
Les premiers poèmes populaires (zajal) qui nous sont arrivés sont tous composés par des maronites. De plus, la plupart des poètes de zajal sont des maronites.
Cela est dû, peut-être, à la familiarité de ces poètes avec le chant maronite, qui leur donnait la facilité et la méthode de composer selon les mètres syllabiques (qui dépendent du nombre des syllabes), les strophes,… suivis dans le chant syriaque.
Ajoutons que lors des éléctions religieuses d’un patriarche ou d’un abbé, les moines et le clergé se divisaient en deux partis , et la « campagne électorale se faisait en composant des chants les uns contres les autres.
Les textes étaient adaptés sur des mélodies liturgiques maronites.
César Gemayel (b. Ain al Touffaha near Bikfaya, Lebanon in 1898 died in Beirut, Lebanon in 1958) was a famous Lebanese painter.
Gemayel was taught arts by Khalil Saleeby. He was considered as a leading and pioneering figure alongside painters like Youssef Howayek, Douad Corm, Omar Onsi, Saliba Douaihy, Moustafa Farroukh and a handful of others.
Gemayel was a pre-eminently sensual artist. His themes – the female nude, glowing flowers, landscapes green and red, dances and « dabkés », the occasional epic evocation – are the product of his thirst for living expressed through painting.
In 1943, Gemayel and Alexis Boutros founded the Lebanese Academy of Fine Arts (French: L’Académie libanaise des Beaux-Arts) also known as ALBA.
The artist is portrayed on a Lebanese airmail stamp issued in 1974 in recognition of his work.
(Source : WIKIPEDIA)
César Gemayel est né en 1898 à Ain el Touffah près de Bikfaya, il est un artiste libanais de la ‘deuxième génération’.
Pionnier aux côtés de Youssef Howayyek, Georges Corm, Omar Onsi, et une poignée d’autres, Gemayel a libéré les arts au Liban en brisant les normes de la vieille école et les principes qui étaient restés les mêmes depuis la `première génération.
César Gemayel abandonne rapidement ses études de pharmacie pour se consacrer à la peinture.
Il fréquente l’Académie Julian à Paris, et retourne au Liban en 1930 où il participe à de nombreuses expositions et devient une figure de proue dans la communauté artistique libanaise.
Il enseigne à l’Académie libanaise des beaux-arts (ALBA) dès sa création, en 1937.
Décoré par l’Ordre national libanais des Cèdres, il est considéré comme l’un des pères fondateurs de la peinture libanaise moderne.
In the framework of the « Together to re-open and re-activate Horsh Beirut » campaign, NAHNOO organised public debate on the status of Horsh Beirut, the only existing park in our capital city.
The meeting took place at Hotel Crowne Plaza on 17/1/2015.Speakers:
– Mr. Nadim Abou Rizk (engineer and Vice-President of Beirut Municipality)
As a representative of the Municipality, Mr. Abou Rizk updated us on the situation of Horsh Beirut and shed light on the possibility of a future re-opening.
– Mr. Naji Assi, (Architect and Professor at the American University of Beirut).
As an urban planning expert, Mr. Assi shared his view on the landscape of the Horsh and Municipality’s master plan.
– Mr. Mohammad Ayoub Executive Director NAHNOO NGO).
As leading activist in the campaign, Mr Ayoub coordinated the public forum and expressed the civil society’s concerns.
The audience participated in an opened discussion voicing their opinions, demands and asking for clarifications from the Beirut Municipality.
The event was successful with over than 200 participants and active interaction
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