Les débuts de l’intégration furent difficiles marquée par la xénophobie, les stéréotypes, etc. Mais au fil des années les syro-libanais ont réussi à se faire accepter par la population locale. Maitrisant pour la plupart les langues régionales ou l’art culinaire antillais, elle participe activement au développement économique, politique et culturel de la Caraïbe.
Cette troisième et dernière partie sera l’occasion pour nous de comprendre et d’affirmer en quoi la communauté syro-libanaise est le «6e peuple fondateur»[1] du peuple caribéen avec la présentation de quelques personnalités ayant contribué au monde politique, économique et culturel de la région.
En guise d’ouverture, il serait intéressant de voir comment les syro-libanais et plus particulièrement la diaspora libanaise est un exemple type dans l’étude des migrations et de la définition du concept de diaspora.
«Une communauté discrète et un univers peu structuré»[2]…
À en croire les propos de Didier Destouches…
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