FROM EUSKADI TO LEBANON – STATS 2018

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Merci à mes followers et bonne année 2019

Thanks to my followers and Happy New Year 2019

Gracias a mis followers y feliz año nuevo 2019

Danke an meine Anhänger und Happy New Year 2019

Grazie ai miei follower e Happy New Year 2019

Graças aos meus seguidores e feliz ano novo de 2019

Спасибо моим последователям и счастливого нового года 2019

شكرا لأتباعي وسنة جديدة سعيدة 2019 – Takipçilerime ve Yeni Yılınız Kutlu Olsun 2019

感谢我的追随者和2019年新年快乐

The Bike Kitchen Beirut

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Pour Karim Sokhn, le vélo est une des solutions « inévitables et éco-durables pour résoudre les problèmes environnementaux de pollution et de mobilité » au Liban.

https://lepetitjournal.com/beyrouth/avec-karim-sokhn-le-velo-au-liban-de-lavenir-246429

Facebook : https://www.facebook.com/thebikekitchenbeirut/

Richard Millet : « Ce que je dois au Liban, c’est une enfance heureuse »

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 » Ce n’était plus la guerre fantomatique à quoi, depuis mon arrivée à Beyrouth, je m’étais habitué et qui ne venait pas: ce n’était plus du roman devenu vague rêverie au fond de l’ennui; c’était l’essence même de toute littérature : la guerre, violente. exigeante. dangereuse. enivrante, aussi. car j’y ai retrouvé les gestes qui étaient les miens, enfant, dans les bois de Siom, quand je jouais à la guerre et que je mourais ou tuais avec une ivresse qui me laissait croire que j’étais la proie d’autre chose que de la lièvre du jeu. Mais à Beyrouth, cette nuit-là, au premier étage du magasin que nous devions tenir, dans le bruit des armes, les éclats, l’odeur de poudre, d’huile et de métal chaud, je sentais les autres miliciens bien plus proches de moi que mes anciens compagnons de jeu. Tout ça me plaisait dans une dimension inquiétante, voire terrifiante du plaisir : celle qu’on connaît dans les très grandes amours.  » ( La confession négative )

Originaire de Corrèze — il y retourne régulièrement —, né d’un père protestant et d’une mère catholique, Richard Millet passe une partie de son enfance au Liban (de six à quatorze ans). Il participe à la guerre du Liban en 1975-1976 en tant que volontaire auprès de la communauté chrétienne, plus particulièrement au sein des Phalanges libanaises.

Il enseigne les lettres pendant vingt ans avant d’y renoncer pour se consacrer entièrement à l’écriture.

Romancier et essayiste, il peint sa Corrèze natale dans de nombreux romans ou récits et s’attache, dans ses essais, à défendre une certaine idée de la littérature. (wikipedia)

« Ce que je dois au Liban, c’est une enfance heureuse » (OLJ)

http://www.lorientlitteraire.com/article_details.php?cid=33&nid=6103

Dans « La fiancée libanaise », son autoportrait est au demeurant sans appel : « Un homme ordinaire, un écrivain incapable d’aimer, donc d’écrire vraiment, peut-être, comme la plupart de mes congénères, pourtant sincère, quelquefois émouvant, pas tout à fait méchant, mais volontairement seul et sur lequel on ne peut socialement pas plus compter qu’il n’est possible de marcher sur l’eau. » (Le Point -Franz-Olivier Giesbert)

Le Liban de Richard Millet: entre mémoire et imagination

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00937268/document

 

 

Diane Mazloum, L’âge D’or

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« Fin des années 1960. Rock et pattes d’éph, insouciance et soleil sur la peau satinée des femmes. Ce sont les derniers jours de l’âge d’or du Liban, mais personne ne le sait encore. Certainement pas Georgina, jeune chrétienne à la beauté troublante. Ni Roland, son premier amour, qui la guette au bord d’une piscine, dans cette torpeur suave où s’agite leur groupe d’amis noceurs, à l’ombre des conversations d’adultes et des turbines d’avion – grondement de la terreur à venir.

Pendant ce temps, Ali Hassan Salameh, fils d’un leader historique palestinien, s’apprête à prendre les armes. Il deviendra l’homme le plus beau et le plus dangereux du Moyen-Orient.

En traçant les destinées de Georgina, devenue Miss Univers, idole chérie d’un peuple enfantin, et d’Ali Hassan, chef de guerre musulman recherché de tous et surtout du Mossad, Diane Mazloum signe une fresque vibrante qui nous emporte au cœur des années 70 et de la guerre civile libanaise. Georgina est l’histoire d’un amour, d’une famille, d’un pays, dans la fièvre d’une époque où l’on se déchire entre frères. La tragédie d’un peuple pour qui rien ne sera jamais plus comme avant. »

(source : Fnac)

http://onorient.com/diane-mazloum-lage-dor-romancer-lhistoire-qui-bascule-27026-20181104

« Liban à Vol d’Oiseau » du Dr. Elio Sassine: Le pays des Cèdres comme vous ne l’avez jamais vu

Médecin psychiatre en exercice au Liban depuis 1995, Dr. Elio Sassine est passionné de photographie. Il pratique la photographie aérienne au moyen de drones depuis plusieurs années. Ses sujets de prédilection sont les ruines et les paysages à caractère abstrait. Ses photos ont été publiées dans des magazines, livres et sites mondialement reconnus et il […]

via « Liban à Vol d’Oiseau » du Dr. Elio Sassine: Le pays des Cèdres comme vous ne l’avez jamais vu — KAMSYN PR