Où Il est question de bien social!
Ces métiers qui ont su résister à l’usure du temps.
Je lisais les derniers extraits d’un essai de Amin Maalouf quand je me suis posé la question à savoir si les enfants de la Covid-19 se souviendront un jour du nombre de métiers disparus à cause de cette pandémie que les autorités sanitaires semblent vouloir faire perdurer indéfiniment.
Lorsque je suis avec mes petits-enfants je suis tenté d’aborder la question, de leur parler de ces métiers que j’ai connus, qui hélas pourraient avoir disparu lorsqu’ils postuleront pour leur premier emploi.
Certaines personnes pourraient douter de la pertinence de mes inquiétudes, ‘’Pourquoi se soucier, puisque ces métiers n’existent plus’’.
C’est une expression que j’ai souvent entendue au cours de mes vingt-cinq ans d’enseignement aux adultes.
Je me souviens d’un homme, appelons-le ‘’le vendeur de Kaak’’(Kaak étant la galette que la quasi majorité des écoliers de ma ville Beyrouth mangeaient en guise…
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Un grand merci Audrey, pour ce reblog qui me fait plaisir et qui m’honore.
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Merci à toi Michel ! C’est magnifique de parler des métiers d’autrefois qu’on peut encore apercevoir de temps à autre au Liban. Il faut prendre le temps de le découvrir en marchant.
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Oui tu as si bien décrit le périple du promeneur solitaire qui part ç la découverte de ces personnes en or dont on parle si peu chez toi ou ici dans mon coin de monde au Québec. Ces personnes ont pour compagne la solitude. Souhaitons leur de ne pas disparaître dans le silence de l’indiférence.
Je suis en relecture de mon premier roman que j’espère publier un jour et l’offrir à mes petits enfants qui adorent la lecture
Que la lumière de l’univers et sa conscience t’accompagnent
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