Abdallah Chatila : Il faut croire en ce que l’on fait et faire ce en quoi l’on croit.

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Né en 1974 à Beyrouth, Abdallah Chatila fuit la guerre civile avec sa famille à l’âge de 2 ans. Après l’Italie et la France, la famille s’installe en Suisse en 1988. Diplômé en gemmologie, Abdallah Chatila rejoint en 1995 l’entreprise familiale de haute joaillerie à Genève. En 2006, il publie « The Diamond Niche », devenu un ouvrage de référence dans le domaine et deux ans plus tard, crée le premier fonds d’investissement en diamants.

Dès 2006, il entame une activité de promoteur immobilier et devient rapidement un acteur incontournable dans le canton de Genève. Il est aujourd’hui président et unique actionnaire de m3 Real Estate, une régie créée en 1950 et qu’il a contribué à positionner comme «banquier privé de l’immobilier». Il réalise ainsi des investissements dans les secteurs de l’immobilier résidentiel et commercial, de la restauration et, plus récemment, de l’hôtellerie. Avec la société Rachaya Holding qu’il fonde en 2007, Abdallah Chatila diversifie ses activités : industrie du diamant, art contemporain, santé, assurances ou nouvelles technologies. Il s’est même lancé depuis dans le négoce de caviar chinois.

Gemmologue, entrepreneur, investisseur mais également philanthrope, Abdallah Chatila crée en 2011 la fondation Sesam. Il soutient ainsi des projets éducatifs et socioculturels, à Genève pour l’essentiel mais également au Liban. Avec une fortune estimée en 2018 par le magazine Bilan à plus de 200 millions de CHF, Abdallah Chatila compte parmi les 300 plus riches de Suisse.

https://m-3.group/abdallah-chatila-il-faut-croire-en-ce-que-lon-fait-et-faire-ce-en-quoi-lon-croit/

Il achète les objets d’Adolf Hitler aux enchères pour les donner au peuple juif

« Je n’ai pas fait beaucoup d’études et je ne comprends pas forcément toutes les subtilités de la mémoire… J’en suis arrivé à la conclusion que la décision ne m’appartenait pas. Qu’il s’agisse de les détruire, de les exposer ou simplement de les conserver, c’est au peuple juif d’en décider. »

https://www.lepoint.fr/societe/a-la-rencontre-de-l-homme-qui-a-achete-les-objets-personnels-d-hitler-22-11-2019-2349006_23.php

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